
CONTENU :
- Qu’ est-ce que l’assurance-vie ?
- A quoi sert l’assurance-vie ?
- Obtention d’un contrat
- Quelle assurance vie devriez-vous choisir ?
- Qu’ est-ce qu’un contrat haut de gamme ?
- Contrats d’assurance-vie euro-croissance
- Qu’ est-ce que la participation différée aux bénéfices ?
- Comment puis-je m’abonner ?
- Quel est le résultat d’un contrat d’assurance-vie ?
- Fiscalité de l’assurance-vie
Le contrat d’assurance-vie offre un large éventail d’opportunités d’ingénierie patrimoniale tout en bénéficiant d’un cadre juridique et fiscal avantageux.
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Plan de l'article
- Qu’ est-ce que l’assurance-vie ?
- A quoi sert l’assurance-vie ?
- Obtention d’un contrat
- Quelle assurance vie devriez-vous choisir ?
- Qu’ est-ce qu’un contrat haut de gamme ?
- Contrats d’assurance vie Euro-croissance
- Qu’ est-ce que la participation différée aux bénéfices ?
- Comment puis-je m’abonner ?
- Quel est le résultat d’un contrat d’assurance-vie ?
- Fiscalité de l’assurance-vie
Qu’ est-ce que l’assurance-vie ?
Le contrat d’assurance-vie est basé sur le concept de danger, qui se caractérise par l’insécurité de la vie humaine de l’assuré.
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En conséquence, l’abonnement ne peut être fait que par une seule personne sera Physique
Bref, il s’agit d’un accord qui implique généralement trois personnes dans une transaction financière :
- un assureur ;
- une personne assurée ;
- et un bénéficiaire.
Elle permet au preneur d’assurance (l’assuré) d’économiser de l’argent auprès d’une organisation (l’assureur) pour transmission à une ou plusieurs personnes désignées (le ou les bénéficiaires) lorsqu’un événement spécifique se produit en relation avec l’assuré, tel que son décès.
Cependant, le preneur d’assurance n’est pas nécessairement l’assuré : n’importe qui peut conclure un contrat d’assurance-vie dont le risque est basé sur une autre personne.
Le souscripteur est la personne qui verse les cotisations, tandis que l’assuré est la personne sur laquelle le risque est fondé.
En revanche, le bénéficiaire est désigné par le preneur d’assurance et non par l’assuré différent.
Il n’a pas besoin d’être présent à la signature du contrat.
Plus précisément, cette convention d’épargne crée des obligations pour chacune des parties.
L’ assuré confie ses économies à son assureur pour une certaine période de temps en payant des primes pour un contrat.
Ces économies représentent des intérêts, qui sont ensuite imposables en cas de retrait. En contrepartie, l’assureur s’engage à :
- Soit pour payer l’épargne sous forme de capital ou de pension sur demande à l’assuré : assurance en cas de vie ;
- Soit pour les transférer à la personne de l’assuré au bénéficiaire désigné, en cas de survenance d’un événement spécifique, pour les prendre en utilisant la clause de prestations : assurance en cas de décès .
Les deux types de résultats contractuels de la L’assurance-vie garantit le paiement et la libération de l’épargne.
A quoi sert l’assurance-vie ?
L’ ouverture d’un contrat d’assurance-vie peut atteindre plusieurs objectifs patrimoniaux.
Il s’agit d’un contrat avantageux pour toute personne qui veut construire et évaluer le capital ou gagner un revenu supplémentaire si elle veut prendre sa retraite ou transférer sa fortune à ses enfants d’une manière optimisée.
Construire le capital financier
Un tel contrat permet à l’abonné d’économiser son argent à moyen ou long terme pour investir son argent.
Contrairement à un contrat de pension, qui protège le seul risque en contribuant aux fonds perdus, le contrat d’assurance-vie préserve les fonds et les évalue sous forme d’intérêts.
Cette évaluation continue nous permet, selon le profil, de construire un capital financier important, le risque des abonnés, la durée de l’abonné, la durée de l’abonné capitalisation et le montant des montants investis dans le contrat.
Le montant capitalisé sera mis à la disposition de l’abonné à la résiliation du contrat.
Collecter un revenu supplémentaire à la retraite
Grâce à un contrat d’assurance-vie, il est possible de gagner un revenu supplémentaire après la retraite de deux façons :
- Il peut être envisagé d’apporter l’épargne sous la forme d’une rente viagère. Dans ce cas, le capital est disposé en faveur de l’assureur qui s’engage à verser une pension au preneur d’assurance jusqu’à la fin de sa vie ;
- Il est possible de générer des revenus supplémentaires grâce à des rachats partiels planifiés. Il s’agit d’une stratégie d’actifs qui peut être très intéressante, en particulier pour les contrats ouverts il y a quelques années et qui bénéficient donc d’un régime fiscal plus favorable. Remboursements.
Préparez votre succession
avant Chaque contrat d’assurance-vie comporte une clause de prestations qui identifie plus d’une personne.
Pour ceux-ci, les sommes après le décès de l’assuré avec des coûts fiscaux réduits seront placées sur le contrat si le souscripteur a payé les paiements pour son contrat avant son 70e anniversaire.
L’ imposition de l’assurance-vie sur la base du décès peut être plus attrayante que l’imposition d’une succession conventionnelle.
En outre, la clause de prestation peut être formulée librement en faveur du conjoint, des enfants ou de toute autre personne.
Obtention d’un contrat
Au moment de la signature du contrat, l’assureur exige le paiement d’un montant en espèces qui ne permet que l’ouverture du contrat : c’est le premier paiement, qui ne doit pas être inférieur à un certain montant, qui varie en fonction du contrat.
Ces Le paiement anticipé représente le capital d’amorçage de l’épargnant.
Après cela, il est relativement facile de livrer votre contrat : les paiements peuvent être entièrement gratuits ou programmés.
Paiements gratuits : Ils peuvent être faits ad hoc et spontanément.
D’ autre part, leur montant minimum est également fixé conformément au contrat et peut varier considérablement
Ces paiements sont assujettis à une redevance égale à un pourcentage des montants versés.
Paiements prévus : Il s’agit de la meilleure option pour réaliser des économies à long terme.
Dans ce cas, l’assuré paie automatiquement un montant fixe sur le contrat pour investir dans le soutien qu’il a choisi en amont.
Encore une fois, l’idée de liberté est présente, puisque le montant payé programmé est gratuit, ainsi que le Périodicité :
- mensuel ;
- trimestriel ;
- tous les six mois ;
- ou chaque année.
Il est également possible de suspendre, de reprendre, d’augmenter, de réduire ou d’interrompre la programmation des paiements sur demande.
Cependant, les assureurs peuvent facturer un montant minimum, qui peut varier considérablement.
Quelle assurance vie devriez-vous choisir ?
Choisir votre contrat d’assurance-vie n’est pas une opération facile : il est nécessaire de prendre en compte plusieurs critères :
- le montant minimum du paiement ;
- les honoraires pour le contrat ;
- Outils de gestion en ligne
- Rendement ;
- Choix des placements financiers : profil sécurisé ou risqué ?
- les accompagnements et les conseils ;
L’ une des données les plus importantes est basée sur le profil de risque de l’assuré.
Avant de conclure un contrat d’assurance-vie, vous devez vous considérer comme un épargnant et remettre en question son niveau d’appétit pour le risque.
Le choix de tel ou tel support dans le contrat est ensuite effectué sur la base de ce profil de risque.
Un contrat d’assurance-vie offre plusieurs supports différents s’il est haut de gamme.
Les contrats qui ne soutiennent que des fonds en euros ne sont plus conseillés, tandis que les contrats multisoutien autorisent des investissements dans des fonds en euros et des fonds d’actions ou d’obligations.
Le degré d’appétit pour le risque aidera l’investisseur dans le choix des investissements.
Le choix des supports détermine le motue risque/rendement que le participant entend appliquer à son contrat.
Il est très utile lorsqu’il n’est pas nécessaire que quelqu’un se connecte avec un conseiller en gestion de patrimoine (PMC) pour effectuer le meilleur placement qui soit adapté à ses besoins.
Depuis la CGP a le statut de Conseiller en Investissement Financier (CIF), elle pourra en effet offrir un service personnalisé adapté à la situation personnelle de l’investisseur.
Qu’ est-ce qu’un contrat haut de gamme ?
Le contrat d’assurance-vie offre un large éventail d’aides à l’investissement, notamment pour les contrats multimédias :
- Les fonds en euros : ils offrent une rentabilité relativement faible. D’un autre côté, ils garantissent le capital parce qu’ils constituent un soutien sûr.
- Unités de compte : Elles offrent un meilleur rendement sur un risque plus élevé en investissant dans de nombreuses catégories d’actifs :
- actions ;
- Devoirs
- les matières premières ;
- Or, pétrole ;
- monnaies
- ; l’ immobilier ;
- …
Les contrats d’assurance-vie multimédias permettent d’accéder à un univers d’investissement très large basé sur la qualité du contrat d’assurance-vie.
- SCPI : En retour, ces sociétés d’investissement permettent d’investir dans l’immobilier pour l’octroi d’actions aux investisseurs. En devenant partenaire, ce dernier recevra des revenus immobiliers provenant de la location de la propriété. Toutefois, ces revenus ne sont pas imposés en tant que tels, puisqu’ils font partie de l’enveloppe créée par le contrat d’assurance-vie.
Les contrats haut de gamme permettent aux investisseurs d’accéder à une variété de matériaux différents de l’équipement habituel.
Contrats d’assurance-vie garantie
Il s’agit d’un contrat multisoutien qui fournit une garantie de revenu à vie, dont le montant est connu à l’avance.
L’ avantage de ce type de contrat est son côté sécurité.
Même si le capital est consommé, une pension à vie assurera le versement d’un revenu jusqu’à la fin de la vie de l’assuré.
Afin d’obtenir ce revenu , cependant, des garanties doivent être fournies et leur coût varie en fonction de l’âge et du sexe de l’assuré.
Contrats d’assurance vie sur mesure
Ces contrats comportent des caractéristiques spéciales qui offrent aux abonnés une enveloppe patrimoniale adaptée à leur profil.
Cependant, ils sont disponibles à condition de paiements anticipés élevés, dont les montants varient en fonction de l’organisation.
Ces contrats présentent un certain nombre d’avantages :
- Il est possible d’accueillir de meilleurs fonds et autres formes de soutien pour des actions, des obligations, des produits structurés ou des titres de sociétés non cotées qui sont normalement inaccessibles.
- Les contrats d’assurance-vie peuvent être luxembourgeois, ce qui permet dans certains cas de bénéficier d’une fiscalité plus attrayante.
Contrats d’assurance vie Euro-croissance
Les contrats de croissance en euros permettent d’accumuler des actifs risqués et une garantie de capital ou de pension dans le contrat d’assurance vie à la fin du contrat, qui ne doit pas être inférieur à 8 ans.
Elles visent à contribuer au financement du développement des PME et à offrir un rendement plus attrayant que les fonds en euros.
Les contrats de croissance en euros n’ont pas eu le succès souhaité en raison de leur complexité et de leur manque de lisibilité de leurs performances.
La loi sur le Pacte modernise le Fonds de croissance de l’euro en créant un nouveau format de ce traité, dans lequel le capital garanti ou la rente ne sera que des proportions de la fourniture de diversification avant l’échéance prévue et, à l’échéance, une garantie minimale exprimée en euros.
Les mécanismes sont simplifiés et la lisibilité est améliorée en fournissant une s’affiche pour les souscripteurs.
Il n’y a pas d’incidence fiscale entre le remplacement d’un ancien contrat en un nouveau.
Qu’ est-ce que la participation différée aux bénéfices ?
La souscription à un contrat d’assurance-vie avec participation différée aux bénéfices est stratégiquement très utile lorsque des rachats peuvent être effectués après l’abonnement.
Si les intérêts sur les fonds en euros ou autres supports de distribution sont généralement payés annuellement sur le contrat de l’assuré, il est en effet possible de reporter leur recouvrement pour une certaine période, qui ne peut excéder huit ans.
En différant la participation aux bénéfices, l’investisseur a renoncé au recouvrement de ses gains en capital, qui sont reportés par la compagnie d’assurance.
Ce montant est ensuite porté au crédit du contrat d’assurance-vie à la fin de la période dite fermée.
Le aucune valeur ajoutée n’est trouvée de cette manière, par conséquent, pendant la période de dépôt, il n’y a pas d’impôt en cas de rachat pendant cette période, puisque les intérêts perçus ne sont pas sur le contrat et ne sont donc pas remboursés.
À la fin de la période d’ajournement, les bénéfices sont versés au contrat à la fois, et le contrat prend une forme « classique » avec une imposition « classique ».
Comment puis-je m’abonner ?
Les contrats d’assurance-vie sont disponibles de plusieurs façons : auprès des banques, compagnies d’assurance, mutuelles, sur des sites web… et les produits offerts sont variés et variés, mais pas nécessairement de qualité.
Comme indiqué précédemment, il est nécessaire de payer un acompte lors de l’ouverture d’un tel contrat.
En contrepartie, l’assureur fournit à l’abonné les documents juridiques et, en particulier, les conditions générales de vente.
L’ abonné apparaîtra alors dans être en mesure d’effectuer des paiements gratuits ou programmés.
Il est impératif de rédiger la clause bénéficiaire.
La ou les personnes désignées recevront le capital en cas de décès de l’assuré.
Il convient d’accorder une attention particulière à la rédaction de la clause.
Il peut être précisé que la répartition des fonds entre les bénéficiaires est inégale.
La rédaction d’une telle clause est d’une grande importance, puisque le capital épargné tombe dans la succession à l’occasion du décès de l’assuré, s’il n’existe pas.
Vous ne bénéficierez pas d’une imposition avantageuse en raison de la mort d’un tel contrat.
Lors du choix des médias, il est nécessaire de connaître le degré d’appétit pour le risque, notamment par le biais d’un profil d’investisseur évalué par une CGP.
Ce dernier sera alors en mesure d’adhérer à la situation de chaque individu supports personnalisés recommandés.
Quel est le résultat d’un contrat d’assurance-vie ?
La résiliation du contrat peut prendre deux formes : le résultat à vie et le résultat dû à la mort.
Le résultat pour l’amour de la vie
Un contrat d’assurance-vie peut avoir été signé pour recevoir un revenu supplémentaire à la retraite. Dans ce cas, l’investisseur a le choix :
- Soit il décide de recevoir tout le capital estimé (après intérêt) à la fois : c’est ce qu’on appelle un rachat total ou partiel du contrat ;
- Soit il décide de recevoir le capital échelonné grâce à la sortie de la rente, qui peut elle-même prendre trois formes différentes :
- La rente viagère : le capital est converti en versement mensuel jusqu’au décès de l’assuré ;
- Pension spécifique : L’assureur s’engage à verser une certaine pension dans le avance pour payer pendant un certain nombre d’années ;
- La pension indexée : la pension suit l’évolution du coût de la vie ;
- La pension en étapes : par exemple, un tel montant pour les années « x », puis un tel montant pour les années « y ».
En outre, il est possible de combiner la production de capital avec un remboursement partiel avec la sortie de la pension pour le reste.
Le résultat de la cause du décès
Comme indiqué plus haut, la clause de favoritisme est un élément central du contrat, puisqu’elle détermine qui paiera le capital en cas de décès de l’assuré.
La rédaction doit donc être prudente.
Il est possible de nommer toute personne : conjoint, enfants ou toute autre personne, y compris une personne morale.
Il est également possible d’allouer un pourcentage du capital à chaque bénéficiaire sans être égal.
La clause relative aux avantages permet répartir le capital épargné dans un cadre fiscal favorable, favorisant ainsi les stratégies de transmission du patrimoine culturel.
Si le preneur d’assurance effectue finalement des rachats en exerçant l’option irrévocable de retirer le contrat en émettant des titres, cette option devrait s’appliquer à la conclusion du contrat après le décès de l’assuré, sauf indication contraire expresse.
Cela signifie que le bénéficiaire du contrat bénéficiera du règlement de titres et non du capital en espèces si le souscripteur ou l’assuré n’a pas conclu d’arrangements contractuels.
Fiscalité de l’assurance-vie
L’ impôt sur l’assurance-vie n’affecte que les intérêts effectivement recouvrés : cela signifie qu’il n’est imposé que s’il est imposé lorsqu’il est remboursé en vertu de contrats être retirés.
En revanche, l’assurance-vie est assujettie à un traitement fiscal spécial en cas de résiliation du contrat pour cause de décès.
Fiscalité des rachats d’un contrat
En raison de l’ordre des réformes et des lois financières, le régime fiscal applicable aux rachats d’assurance-vie dépend de la date de paiement des primes pour les contrats.
Les produits d’assurance-vie liés aux paiements effectués avant le 27 septembre 2017 continueront d’être imposés en vertu du régime actuel.
Si le contribuable n’a pas opté pour le droit forfaitaire, ces revenus continueront d’être assujettis à l’échelle progressive.
Il peut appliquer un impôt sur l’échelle de l’impôt progressif sur le revenu s’il formule une option globale pour tous les revenus tirés du capital meuble.
Le produit des primes versées à compter du 27 septembre 2017 est assujetti à des Règles fiscales. En réalité, il y a trois situations à distinguer :
- Si le montant total net des primes versées par l’assuré est inférieur à 150 000€, le taux d’imposition de ces produits sera de 35%, 15% ou 7,5% 17,2%, selon le paiement précédent des primes.
- Si le montant total net des primes versées par l’assuré est supérieur à 150 000€ et que le contrat est inférieur à 8 ans, le taux d’imposition est de 12,8% 17,2%.
- Si le montant total des primes nettes payées par l’assuré est supérieur à 150 000€ et que le contrat est supérieur à 8 ans, le taux d’imposition est de 7,5% 17,2% pour la part des produits liés aux primes d’au plus 150 000 EUR payée le 27 septembre 2017 et de 12,8% 17,2% de plus.
Selon ces trois hypothèses, le produit du contrat est assujetti au régime progressif d’impôt sur le revenu si le contribuable dispose d’une option fiscale globale a formulé.
En revanche, les remboursements effectués après 8 ans bénéficieront des allocations suivantes :
- 4 600€ pour un particulier ;
- 9 600€ pour un couple.
Tableau récapitulatif :
rachat ou terme | Primes payées avant le 27.09.2017 | Primes payées à partir du 27.09.2017 | |
---|---|---|---|
Produits exceptionnels | |||
< 150.000€ | > 150 000€ | ||
Il y a 4 années | 35% 17,2% | 12.8% 17,2% pour tous les produits | |
Entre 4 et 8 ans | 15% 17,2% | ||
Après 8 < 4 600€ ou 9 200 | € 17,2% | 17,2% | 17,2 % ou 12,8 % 17,2 % pour les produits annexés à la prime > 150 000 euros |
Après 8 ans > 4 600€ ou 9,200€ | 7,5% 17,2% | 7,5% 17,2% |
Impôt sur la base du décès
Il convient de noter que l’assurance-vie n’est pas séquentielle.
Il ne subit pas l’imposition normale de la mort, mais a ses propres règles fiscales.
L’ imposition du capital recouvré par les bénéficiaires au moment de la conclusion du contrat dépend de l’âge du participant au moment du paiement des primes : s’il était âgé de moins de 70 ans, l’article 990 I du Code général des impôts (CGI) s’applique :
- De 0 à 152 500€ : 0%
- De 152 501 à 700 000€ : 20%
- Au-delà de 001€ : 31.25%
Une seule rémunération par bénéficiaire s’applique, y compris les contrats multiples.
Si l’abonné était âgé de plus de 70 ans au moment de l’introduction de la bourse, l’article 757B des Conditions générales devrait s’appliquer. Ce dernier prévoit une subvention unique de 30 000 euros à tous les bénéficiaires.
Les montants comprennent l’établissement et sont soumis à des frais de transfert gratuit.